04_Bundesrat Genehmigt Verordnungen

Bundesrat Genehmigt Verordnungen

An seiner Sitzung vom 29. Oktober 2025 hat der Bundesrat verschiedene Anpassungen in Verordnungen in den Bereichen Chemikalien, Altlasten, Luftqualität, Biotopschutz und Abfallwirtschaft genehmigt. In der Chemikalien-Risikoreduktions-Verordnung werden neu strengere Bestimmungen zu per- und polyfluorierten Alkylsubstanzen (PFAS) sowie zu Mikroplastik eingeführt. Die revidierte Abfallverordnung präzisiert die Vorgaben zur Rückgewinnung von Phosphor. Die Altlasten-Verordnung sieht tiefere Grenzwerte für Schadstoffe in Böden von Kinderspielplätzen vor. In der Luftreinhalte-Verordnung wird die bestehende Ausnahmeregelung für Benzin mit Bioethanol verlängert. Ergänzend hat der Bundesrat mehrere Anpassungen beschlossen, um den Schutz von Biotopen weiter zu stärken.

 

Altlasten-Verordnung: Neue Grenzwerte für Kinderspielplätze

 

Gemäss der per 1. April 2025 angepassten Umweltgesetzgebung müssen öffentliche und private Kinderspielplätze sowie Grünflächen saniert werden, wenn deren Böden mit umweltgefährdenden Stoffen belastet sind und dadurch die Gesundheit spielender Kinder gefährdet ist. Sanierungsbedürftig sind Flächen, deren Schadstoffgehalte eine sichere Nutzung nicht mehr zulassen. Für solche Fälle können Eigentümerinnen und Eigentümer von Spielplätzen oder Hausgärten finanzielle Unterstützung aus dem VASA-Altlastenfonds beantragen. Um den Schutz der Kinder weiter zu verbessern, hat der Bundesrat die zulässigen Konzentrationswerte insbesondere für Blei und polyzyklische aromatische Kohlenwasserstoffe (PAK) verschärft. Neu enthält die Altlasten-Verordnung zudem einen Grenzwert für Dioxine und dioxinähnliche Verbindungen.

 

Die Medienmitteilung und entsprechenden Beilagen finden Sie hier.

Le conseil fédéral approuve des ordonnances

Lors de sa séance du 29 octobre 2025, le Conseil fédéral a approuvé diverses adaptations d'ordonnances dans les domaines des produits chimiques, des sites contaminés, de la qualité de l'air, de la protection des biotopes et de la gestion des déchets. L'ordonnance sur la réduction des risques liés aux produits chimiques introduit désormais des dispositions plus strictes concernant les substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS) ainsi que les microplastiques. L'ordonnance révisée sur la gestion les déchets précise les exigences relatives à la récupération du phosphore. L'ordonnance sur les sites contaminés fixe de nouvelles valeurs limites plus basses pour les polluants présents dans les sols des aires de jeux pour enfants. L’ordonnance sur la protection de l’air prolonge l’exemption existante concernant l’essence contenant de l’éthanol biologique. En complément, le Conseil fédéral a décidé plusieurs adaptations visant à renforcer davantage la protection des biotopes.

 

Ordonnance sur les sites pollués : nouvelles valeurs limites pour les aires de jeux pour enfants

 

Conformément à la législation environnementale modifiée au 1er avril 2025, les aires de jeux publiques et privées ainsi que les espaces verts doivent être assainis lorsque leurs sols sont contaminés par des substances dangereuses pour l'environnement, susceptibles de mettre en danger la santé des enfants qui y jouent. Les surfaces dont la teneur en polluants ne permet plus une utilisation sûre doivent être assainies. Dans de tels cas, les propriétaires d'aires de jeux ou de jardins privés peuvent solliciter une aide financière auprès du fonds OTAS pour les sites contaminés. Afin de renforcer encore la protection des enfants, le Conseil fédéral a abaissé les valeurs de concentration autorisées, en particulier pour le plomb et les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). L’ordonnance fixe désormais également une valeur limite pour les dioxines et les composés similaires aux dioxines.

 

Vous trouverez ici le communiqué de presse et les annexes correspondantes.

 

 

03_Das CHGEOL braucht seine Mitglieder

Das CHGEOL braucht seine Mitglieder

Geschätzte Kolleginnen und Kollegen,

 

Wir setzen uns für Euch ein und möchten insbesondere jüngere Mitglieder ermuntern, an unserer Vorstandsarbeit teilzuhaben. Wir stellen fest, dass im Bereich Studium und Mittelschule daran gearbeitet werden muss, dass Schüler:innen und Studierende unseren Beruf anpeilen und zum Berufsziel machen. Dazu fehlen uns Ressourcen und auch der geeignete Zugang.

 

Meldet Euch gerne beim Copräsidium oder beim Vorstand, wenn Ihr einen Beitrag leisten wollt.

 

Das Copräsidium CHGEOL

Le CHGEOL a besoin de ses membres

Chers collègues,

 

Nous nous engageons pour vous et souhaitons encourager en particulier les jeunes membres à participer au travail de notre comité directeur. Nous constatons qu'il y a du travail à faire dans le domaine des études et de l'enseignement secondaire afin que les élèves et les étudiants s'intéressent à notre métier et en fassent leur objectif professionnel. Pour cela, nous manquons de ressources et d'accès appropriés.

 

N'hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez apporter votre contribution. 

 

La coprésidence CHGEOL

 

 

01_Klausur 2025 CHGEOL-Vorstand im Lötschental

Klausur 2025 CHGEOL-Vorstand im Lötschental

Im Lötschental, umgeben von imposanten Gipfeln und herbstlich gefärbten Hängen, traf sich der Vorstand des CHGEOL zu einer intensiven Klausur. Im Zentrum standen die Diskussion der aktuellen Aktivitäten wie zum Beispiel die Nachwuchsförderung und die strategische Ausrichtung des Vereins. Die offene Atmosphäre ermöglichte einen tiefgehenden Austausch über Ziele und Prioritäten.

 

Ein Höhepunkt war die Exkursion zum Bergsturzgebiet oberhalb von Blatten – ein Ort, der die gewaltige Dynamik alpiner Prozesse eindrücklich vor Augen führt. Im Mai 2025 stürzten dort mehrere Millionen Kubikmeter Fels vom Kleinen Nesthorn auf den Birchgletscher, welcher unter der Last kollabierte, zusammen mit dem Gestein ins Tal stürzte und das Dorf Blatten unter sich begrub.  Die Folge: ein Schuttkegel von rund neun Millionen Kubikmetern, durchsetzt mit Eis.

 

Fabian Reist von Geoformer hat uns bei einer Wanderung bis Weissenried das tragische Ereignis aus Sicht des Geologen erläutert und wir haben ausführlich über den Umgang mit solchen Gefahren in den Alpen diskutiert. Können wir die Überwachung weiter ausbauen um solche Ereignisse frühzeitig zu erkennen? Ist eine Wiederansiedlung auf solch instabilem Untergrund realistisch? Diese Fragen erfordern gut ausgebildete Fachleute, die bereit sind sich voll und ganz zu engagieren.

 

Nach dieser eindrücklichen Exkursion klang die Klausur kulinarisch aus – mit einem Walliser Cordon Bleu im Dorfkeller von Kippel. Ein grosses Dankeschön an die gastfreundlichen Lötschentaler, Fabian für die Führung und Benoît und Eric für die Organisation.

 

Autor : Daniel Locher, CHGEOL

Klausur 2025 du comité du CHGEOL dans le Lötschental

Dans le Lötschental, entouré de sommets imposants et de versants aux couleurs automnales, le comité du CHGEOL s'est réuni pour une retraite intensive. Les discussions ont principalement porté sur les activités actuelles, telles que la promotion de la relève et la stratégie de l'association. L'atmosphère ouverte a permis un échange approfondi sur les objectifs et les priorités.

 

L'excursion dans la zone de glissement de terrain au-dessus de Blatten, un lieu qui illustre de manière impressionnante la dynamique puissante des processus alpins, a constitué un moment fort. En mai 2025, plusieurs millions de mètres cubes de roches se sont détachés du Kleines Nesthorn et ont dévalé le glacier de Birch, qui s'est effondré sous son poids en ensevelissant le village de Blatten. Il en résulte un cône de débris d'environ neuf millions de mètres cubes, entrecoupé de glace.

 

Lors d'une randonnée jusqu'à Weissenried, grâce à Fabian Reist de Geoformer qui nous a expliqué cet événement tragique du point de vue d'un géologue, nous avons pu longuement discuter de la manière de gérer de tels dangers dans les Alpes. Pouvons-nous renforcer la surveillance afin de détecter de tels événements à un stade précoce ? Une réimplantation sur un terrain aussi instable est-elle réaliste ? Ces questions nécessitent des spécialistes bien formés, prêts à s'investir pleinement.

 

Après cette excursion impressionnante, la retraite s'est terminée par un repas gastronomique – un Cordon Bleu valaisan dans la cave du village de Kippel. Un grand merci aux habitants hospitaliers du Lötschental, à Fabian pour la visite guidée et à Benoît et Eric pour l'organisation.

 

Auteur : Daniel Locher, CHGEOL

 

 

Sondage OFEV

Umfrage BAFU

Das Bundesamt für Umwelt plant eine Überarbeitung der Praxishilfe «Einsatz künstlicher Tracer in der Hydrogeologie».

Um sicherzustellen, dass die Praxishilfe die Bedürfnisse der Nutzenden bestmöglich abdeckt, führen wir eine Umfrage durch:

https://findmind.ch/c/jvQu-1Ty1

 

Wir möchten in Erfahrung bringen, wie Sie das bestehende Dokument nutzen, welche Themen Sie besonders interessieren und zu welchen Themen Sie mehr Informationen wünschen.

 

Bitte nehmen Sie sich bis am 28.11.2025 kurz Zeit für das Beantworten der Fragen.

Sie können die Umfrage gerne an weitere Personen weiterleiten.

 

 

Autorin: Mme Stefanie Wirth, Abteilung Hydrologie / Sektion Hydrogeologische Grundlagen


 

Sondage OFEV

L'Office fédéral de l'environnement prévoit de réviser le guide pratique « Utilisation de traceurs artificiels en hydrogéologie ».

Afin de nous assurer que ce guide réponde au mieux aux besoins des utilisateurs et utilisatrices, nous menons un sondage en ligne :

https://findmind.ch/c/jvQu-1Ty1

 

Nous aimerions savoir comment vous utilisez le document existant, quels thèmes vous intéressent particulièrement et sur quels thèmes vous souhaitez obtenir plus d'informations.

 

Nous vous remercions de prendre quelques instants pour répondre à ces questions avant le 28 novembre 2025.

N'hésitez pas à transmettre ce sondage à d'autres personnes.

 

 

Auteure: Mme Stefanie Wirth, Division Hydrologie / Section Bases hydrogéologiques

 

 

Reminder: Geologentag-SGM

Reminder: Geologentag-SGM

Der Geologentag 2025 wird dieses Jahr am Samstag, 6. Dezember 2025, in Kombination mit der 23. Ausgabe des Swiss Geoscience Meeting (SGM) in Bern stattfinden.

 

Das SGM ist das grösste jährliche Treffen von Geowissenschaftler:innen in der Schweiz und zieht rund 800 Teilnehmer aus Forschung, Industrie und Privatwirtschaft an. Die Veranstaltung bringt forschungs- und praxisorientierte Geowissenschaftler:innen sowie Studierende – unsere Fachkräfte von morgen – zusammen, und wird somit eine herausragende Plattform für Networking, Austausch und Sichtbarkeit innerhalb der Branche.

 

Das Zusammenlegen der zwei Veranstaltungen bietet eine seltene Gelegenheit die gesamte geowissenschaftliche Branche zusammen zu bringen: sich zu als Firma und Arbeitgeber zu präsentieren, sich mit Kolleginnen und Kollegen auszutauschen und mit Nachwuchsgeologinnen und -Geologen in Kontakt zu treten.

 

Das Detailprogramm ist ebenfalls auf der Homepage hier aufgeschaltet.

 

Autor: Ressort KöF

 


 

Rappel : Journée des géologues - SGM

La Journée des Géologues 2025 se tiendra le samedi 6 décembre 2025, en combinaison avec la 23e édition du Swiss Geoscience Meeting (SGM) à Berne.

 

Le SGM est la plus grande rencontre annuelle des géoscientifiques en Suisse, réunissant environ 800 participant·e·s issus de la recherche, de l'industrie et du secteur privé. L’événement rassemble des géoscientifiques provenant du domaine de la recherche, du domaine de la géologie appliquée ainsi que des étudiant·e·s – les professionnel·le·s de demain – et constitue ainsi une plateforme exceptionnelle pour le réseautage, les échanges et la visibilité au sein de la branche.

 

La fusion de ces deux événements offre une occasion unique de réunir l’ensemble de la communauté géoscientifique : présenter son entreprise et son rôle d’employeur, échanger avec ses collègues et rencontrer la relève des géosciences.

 

Le programme détaillé sera publié sur le homepage ici.

 

Auteur : Département CO

 

 

CSI Alps

Wieso der gymnasiale Erdwissenschaftsunterricht gefördert werden muss: Angebote der Universität Bern

Niedrige Studierendenzahlen in den Erdwissenschaften und ernüchternde Erfahrungen mit dem gymnasialen Erdwissenschaftsunterricht im Rahmen des Fachs Geografie veranlassten Jörg Hermann, Professor für Petrologie am Institut für Geologie der Uni Bern, und Martin Wyss, Geologe und Gymnasiallehrer, ab dem Jahr 2018 öffentlich und kostenlos zugängliche Medien zur Unterstützung des gymnasialen Geologieunterrichts zu entwickeln. Finanziert werden die Projekte vom Schweizerischen Nationalfonds und von Stiftungen.

 

Ausgangslage

Mit spannendem, zeitgemässem, methoden- und prozessorientiertem Unterricht könnte der gymnasiale Erdwissenschaftsunterricht im Fach Geografie eine Schlüsselrolle als Multiplikator für Studienentscheide zugunsten der Erdwissenschaften spielen. Umfragen zeigen jedoch, dass sich nur ein geringer Prozentsatz der Studierenden aufgrund besonders guter Erfahrungen im gymnasialen Geografieunterricht für ein Studium der Erdwissenschaften entscheidet. Dabei wird die Chance verpasst, Schülerinnen und Schülern die gesellschaftliche, wirtschaftliche, politische und ethische Relevanz der Erdwissenschaften für die «Welt von morgen» aufzuzeigen und damit ihr Interesse für erdwissenschaftliche Berufskarrieren zu wecken.

 

Die Gründe für das offenkundige Desinteresse an den Erdwissenschaften auf Stufe Gymnasium sind sowohl bei den Lehrpersonen wie auch bei Schülerinnen und Schülern vielschichtig: Erdwissenschaftliche Inhalte werden im Geografieunterricht nur selten von Erdwissenschaftler:innen vermittelt, oft sogar von Humangeograf:innen, oder Nebenfachgeograf:innen, die nie eine erdwissenschaftliche Ausbildung genossen haben. Dies im Gegensatz zu den Fächern Biologie, Chemie oder Physik, die von Spezialist:innen ihres Fachs unterrichtet werden. Der Unterricht geht deshalb oft nicht genügend in die Tiefe, beschreitet den «Weg des geringsten Widerstandes» und beschränkt sich dabei auf die blosse Vermittlung von auswendiglernbaren Fakten statt auf die viel spannenderen Prozesse und die Methodik. Zudem werden die Erdwissenschaften von vielen Lehrpersonen als eine weitgehend statische Wissenschaft betrachtet, die kaum neue Erkenntnisse hervorbringt. Folglich wurde und wird zu wenig oder gar nicht in die Weiterbildung und in die Überarbeitung von Unterrichtsmaterialien investiert, die noch immer weitgehend «alten Wein in neuen Schläuchen» vermitteln, während z.B. Biologielehrmittel oft top-aktuell sind.

 

Die Erdwissenschaften werden von zahlreichen (Bildungs-)Politiker:innen, Schulleitungen und Lehrpersonen – und natürlich auch von vielen Schülerinnen und Schülern – als unwichtig, zu weit vom Alltag entfernt, zu «verknöchert» oder als zu kompliziert angesehen, wodurch sie kaum eine «Lobby» haben und auch nicht auf Support zählen können wie andere Fächer des MINT-Bereichs (Mathematik-Informatik-Naturwissenschaften-Technik). Berufe im Bereich der Erdwissenschaften gelten aufgrund eines negativen Bildes vieler Jugendlicher vom Rohstoff-, Bau- und Altlastensektor auch nicht als besonders ethisch. Sie geniessen daher, verglichen beispielsweise mit Biologie, Medizin oder den Umweltwissenschaften, kein hohes Ansehen. Leider gelingt es dem gymnasialen Erdwissenschaftsunterricht nicht, den Jugendlichen zu vermitteln, welch breite, interdisziplinäre und zukunftsträchtige Berufsfelder die Erdwissenschaften bereithalten, die für vielseitig Interessierte viel zu bieten haben.

 

Auch die Ausbildung auf der Tertiärstufe hat einen nicht zu unterschätzenden Anteil an dieser Situation, zumal in der Geografielehrerausbildung zum Lehrdiplom für Maturitätsschulen die wichtige Rolle des erdwissenschaftlichen Unterrichts als Multiplikator für den Erhalt der Disziplin nicht berücksichtigt wird. Die Ausbildung im Bereich der Erdwissenschaften ist zu wenig auf die spezifischen Bedürfnisse zukünftiger Lehrpersonen ausgerichtet und daher für viele angehende Geografielehrpersonen demotivierend. Ein Umstand, der sich später auch im Unterricht deutlich zeigt.

 

Als Folge dessen werden die Erdwissenschaften von vielen Lehrpersonen und Schüler:innen als langweilig oder gar uninteressant wahrgenommen. Vor allem naturwissenschaftlich interessierte und gut informierte Schülerinnen und Schüler werden auf diese Weise nicht abgeholt, diese fühlen sich eher zur Physik, Chemie, Biologie, Informatik oder zu den Ingenieur- und Umweltwissenschaften hingezogen. Der Erdwissenschaftsunterricht innerhalb des Fachs Geografie muss deshalb dringend in den Fokus der Bemühungen um eine Zunahme der Studierenden rücken.

 

 

Wieso mehr Studierende?

Im Gespräch mit Vertreterinnen und Vertretern der Geologie-Praxis hört man gelegentlich das Argument, die Rolle der Gymnasien als «Geolog:innen-Macher» sei überbewertet, es reiche vollauf, im Lauf des Studiums genügend Studierende für eine Karriere in Geologie- oder Umweltbüros zu begeistern. Diese Argumentation greift zu kurz: Nicht nur die Büros benötigen in der Zukunft Mitarbeitende, auch in den Behörden sind fähige Erdwissenschaftler:innen dringend vonnöten, denn sonst wird die erdwissenschaftliche Sichtweise an Gewicht verlieren. Geograf:innen oder Umweltnaturwissenschaftler:innen können geologisch viel gründlicher ausgebildete Erdwissenschaftler:innen nicht ersetzen. Ein Ungleichgewicht zuungunsten der Erdwissenschaften lässt sich – einmal etabliert – auch nicht mehr so leicht korrigieren, denn Vertreter:innen von Berufsgruppen stellen bevorzugt Personen aus der eigenen Berufsgruppe ein.

 

Schliesslich bleibt noch die universitäre Forschung und Lehre als weiterer Bereich, der gut ausgebildete Erdwissenschaftler:innen mit engem Bezug zur Schweiz benötigt. Wozu, mag man sich fragen, da ist doch ohnehin alles international ausgerichtet – es können ja einfach mehr ausländische Forschende und Dozent:innen eingestellt werden? Aus Sicht der Forschungsqualität mag dies überzeugen, bringen ausländische Fachkräfte doch oft neue, interessante Ansätze mit. Aus Sicht der Bereitschaft zum Engagement für die Nachwuchsförderung hingegen bestehen grosse Fragezeichen. Es muss nicht ein halbes Jahrhundert vom Studienbeginn bis zur Pensionierung an Schweizer Hochschulen sein, wie im Fall des ETH-Urgesteins Prof. Rudolf Trümpy. Aber es muss zumindest in einigen zukünftigen Uni- oder ETH-Professor:innen bzw. Dozent:innen soviel «Swissness» stecken, dass sie unser Bildungssystem kennen, sich mit ihm identifizieren und sich dafür interessieren, welchen Weg ihre Studierenden gegangen sind. Und vor allem müssen sie bereit sein, dafür zu sorgen, dass der Nachwuchs gefördert wird, auch wenn dies keine karriererelevanten akademischen Lorbeeren einbringt. Aber zuerst einmal müssen diese zukünftigen einheimischen Forscher:innen ihren Weg vom Gymnasium in ein Studium der Erdwissenschaften gefunden haben! Wir benötigen deshalb generell mehr Studierende und müssen versuchen, diese mit unterschiedlichen Angeboten für die Erdwissenschaften zu begeistern.

 

 

CSI Alps: Prozess- und methodenbasierte Vermittlung geologischer Inhalte für den Geografieunterricht im Gymnasium

Die Website «CSI Alps» https://www.csi-alps.unibe.ch/ ist seit 2021 online. Sie richtet sich in erster Linie an Lehrpersonen an Deutschschweizer Gymnasien und vermittelt ihnen Hintergrundwissen zu grundlegenden Themen der Geologie. Dieses kann mittels fixfertiger Unterrichtsmaterialen vermittelt werden, es besteht aber auch die Möglichkeit, individuelle Unterrichtsmaterialen selbst zu gestalten. Zusätzlich werden Exkursionen und umfangreiche Schulsammlungen angeboten. Zahlreiche Rückmeldungen von Lehrpersonen zeigen, dass CSI Alps genutzt und geschätzt wird. Bisher fanden an über 10% der Deutschschweizer Gymnasien Weiterbildungen dazu statt, die Sammlungen wurden bisher gar von über 20

 

 

% der Schulen angeschafft und sie werden weiterhin nachgefragt. Dies ist ein Erfolg, den wir zu Beginn nicht für möglich gehalten hätten und der zeigt, dass ein Teil der Geografielehrpersonen aktiv an Erdwissenschaften interessiert ist. Diesen Kreis gilt es zu pflegen und wenn möglich zu erweitern.

 

Die Website wird auch von Personen ausserhalb des Schulwesens geschätzt. Demnächst ist eine Überarbeitung und Ausweitung der Inhalte geplant sowie eine Printausgabe, die zu Schulungszwecken für Geoguides eingesetzt werden wird. Ein Kondensat von «CSI Alps» fand zudem den Weg in das 2023 neu erschienene Geografie-Schulbuch «Diercke Geografie Sekundarstufe II» für Schweizer Gymnasien vom deutschen Westermann-Verlag. Gerne würden wir «CSI Alps» auch in anderen Landessprachen anbieten, bisher fehlen dafür jedoch die finanziellen und personellen Ressourcen.

 

Die Idee hinter dem «CSI»- Ansatz ist Folgende: Schülerinnen und Schüler finden leichter Zugang zur Geologie, wenn sie eigene Beobachtungen mit dem Verständnis für natürliche Prozesse und für wissenschaftliche Methoden verknüpfen können. Geologie wird dadurch als spannende «Crime Scene Investigation» (CSI) erlebbar und bereichert das Verständnis der eigenen Lebens- und Erfahrungswelt. Hinter jedem Stein und jeder Landschaftsform steht eine Geschichte, die uns die «Sprache der Gesteine» erzählen will. Wird der Fokus auf diese Geschichten und damit auf die Frage gelegt, wie man die Sprache der Gesteine liest, kann bei den Schülerinnen und Schülern Interesse am Verständnis natürlicher Prozesse und wissenschaftlicher Methodik geweckt werden.

 

Wie in der Kriminalistik suchen die Erdwissenschaften in der Natur nach Spuren, also nach Indizien und Belegen für endo- und exogene Prozesse. Wieso weiss man z.B. wie alt Fossilien sind oder wieso weiss man, wie tief Gesteine bei einer Gebirgsbildung in die Erdkruste subduziert werden? Solche Fragen stellen die Schülerinnen und Schüler. Mit fünf Lernmodulen für den gymnasialen Geografieunterricht wird der Versuch gewagt, nicht die Forschungsergebnisse, also gefestigtes geologisches Wissen ins Zentrum zu stellen, sondern aufzuzeigen, auf welchem Weg dieses Wissen entsteht. Dabei wird auf die wissenschaftliche Methodik ebenso Wert gelegt wie auf das Verständnis von Prozessen. Es werden aber auch neueste Forschungsresultate vermittelt, der interdisziplinäre Charakter der Geowissenschaften wird betont und Schnittpunkte mit der Atmosphäre, der Biosphäre, der Hydrosphäre und der Anthroposphäre werden aufgezeigt.

 

 

Urban Geotrails: Geologische Spurensuche in der Stadt

Das Projekt «Urban Geotrails» möchte über einen niederschwelligen Zugang das Interesse von Schülerinnen und Schülern an erdwissenschaftlichen Themen und an deren Verknüpfungen mit der alltäglichen Erlebenswelt wecken. Dafür stehen in sechs Städten je sechs Urban Geotrails für die Sekundarstufe II und drei Geotrails für die Sekundarstufe I zur Verfügung. Das Angebot richtet sich jedoch nicht nur an Schulklassen, sondern generell an alle Personen, die sich für Gesteine, deren Entstehung in Raum und Zeit, und deren kulturelle Nutzung interessieren.

 

«Urban Geotrails» macht sich in Form eines Freiluft-Werkstattunterrichtes an ausserschulischen Lernorten jene Gesteine zu Nutze, die im städtischen Umfeld vorhanden sind. An verschiedenen Posten wird zunächst ein Bezug hergestellt zur geologischen Entstehungsgeschichte der dort vorhandenen Gesteine. Die Posten können Mauern, Fassaden, Brunnen, Treppen, Pflästerungen, steinerne Kunstwerke und dergleichen sein. Den Zugang zur Geologie und zu erdwissenschaftlichen Themen bilden dabei Geschichten zur Entwicklung der Erde bzw. Erdkruste, die den Gesteinen mittels einfacher Elemente der «Sprache der Gesteine» entlockt werden können.

 

In der Folge werden Bogen gespannt zu generellen erdwissenschaftlichen oder umwelt- und kulturrelevanten Themen, je nachdem, was sich an den jeweiligen Posten anbietet. Dies können der Klimawandel und die damit verbundenen Umweltveränderungen, mineralische Rohstoffe, Ressourcennutzung, Baumaterialien und deren Transport, Architektur, Kultur und Kunst oder wissenschaftliche Methodik sein. Diverse Themen werden auch in Form von Ergänzungen separat angeboten.

 

Die Webseite «Urban Geotrails» https://www.urban-geotrails.unibe.ch/ ist seit Juni 2025 online. Es wird zurzeit abgeklärt, wie die Geotrails auch öffentlich beworben werden können.

 

 

Entwicklung in der Zukunft

«CSI Alps» ist mittlerweile bei vielen Lehrkräften, die sich für Erdwissenschaften interessieren, bestens etabliert. Wo allerdings kein Interesse daran besteht, den erdwissenschaftlichen Unterricht zu optimieren oder überhaupt nur schon lehrplangerecht umzusetzen, darf auch nicht davon ausgegangen werden, dass «CSI Alps» oder «Urban Geotrails» nachhaltig Spuren hinterlassen. Zu gross ist in gewissen Schulen der Widerstand gegen diese oftmals als veraltet und überflüssig empfundene Disziplin, die man lieber schon heute als erst morgen durch vermeintlich «modernere» und «zeitgemässere» – hauptsächlich humangeografische – Themen ersetzen würde. Auch das neue Maturitätsanerkennungsreglement MAR und die dazu gehörenden Rahmenlehrpläne tragen nicht dazu bei, die Erdwissenschaften im Gymnasium zu stützen oder gar auszubauen.

 

Die Qualität des erdwissenschaftlichen Unterrichtes hängt dadurch primär von den persönlichen Vorlieben der Lehrpersonen ab. Es gilt, die interessierten Lehrpersonen in der Zukunft noch besser zu unterstützen und durch entsprechende Angebote zu motivieren. Zusätzlich muss die Ausbildung der zukünftigen Lehrpersonen dringend dahingehend verbessert werden, dass sie den Wert und Sinn der Erdwissenschaften für die Welt von Morgen verstehen und weitervermitteln können. Wie hoch der Prozentsatz interessierter Lehrpersonen bzw. Geografiefachschaften liegt, kann nur abgeschätzt werden. Aufgrund von Rückmeldungen zu «CSI Alps»-Weiterbildungsveranstaltungen dürfte er in der Deutschschweiz 40% nicht übersteigen. Wir haben bisher regelmässigen Kontakt zu etwa 25 Fachschaften und pflegen diesen aktiv.

 

Im Rahmen des Projektes «ACTION» (das in den Newslettern November 2024 und  Januar 2025 vorgestellt wurde) ist es gelungen, eine gemeinsame Teilnahme von Uni Bern, ETH Zürich, CHGEOL und privaten Anbietern an der DialoGéo zu organisieren, einem Kongress für Geografielehrpersonen mit 130 Teilnehmenden im November 2025 in Biel. Wir dürfen unsere Angebote an prominenter Stelle präsentieren, dies lässt hoffen, im persönlichen Kontakt weitere Kreise dafür zu begeistern. Mit regelmässiger Hartnäckigkeit verschicken wir auch Informationsmedien an alle Geografiefachschaften in der Deutschschweiz. Zusätzlich bemühen wir uns darum, dass «CSI Alps» und «Urban Geotrails» bereits in der Ausbildung zum Lehrdiplom für Maturitätsschulen thematisiert werden. Doch auch da gilt: jede Dozentin und jeder Dozent hat eigene Prioritäten, und die Erdwissenschaften gehören selten an oberster Stelle dazu.

 

Neu Wege

Wir müssen aber auch neue Wege beschreiten: «CSI Alps» und «Urban Geotrails» vermitteln Basiswissen zur Geologie und sind dadurch geeignet, allgemeines Interesse an den Erdwissenschaften und an einem entsprechenden Studium zu wecken, sie sind aber nicht praxisbezogen. Wir sind deshalb aktuell um die Finanzierung weiterer Projekte für den gymnasialen Unterricht bemüht, die einen Praxis- und Zukunftsbezug herstellen, z.B. zu den sehr aktuellen Bereichen Naturgefahren, CO2-Sequestrierung oder «Weisser» Wasserstoff aus Serpentiniten. Angedacht sind dabei auch Experimentierkits. Diese Themen befinden sich jedoch bereits weit ausserhalb der Lehrpläne des Grundlagenfachs Geografie und können bestenfalls in Ergänzungs- und Schwerpunktfächern behandelt werden, wodurch sich der potentielle Kreis der Interessenten schon sehr reduziert.

 

Neue Wege können aber auch ausserhalb des regulären Unterrichts beschritten werden, und da kommt das Engagement von Geo- / Umweltbüros und Behörden ins Spiel: Im Rahmen des Projektes «ACTION» möchten wir mehr Bezug zur Arbeitspraxis schaffen. Wir stellen uns ein Netzwerk von Erdwissenschaftler:innen aus Geo- / Umweltbüros und Behörden vor, die Freude daran haben, Schülerinnen und Schülern sowie Studierenden ihre Arbeit näher zu bringen und dabei den «Funken der Begeisterung» überspringen zu lassen. Dies kann im Rahmen von Besuchen an Gymnasien oder Universitäten geschehen, z.B. an Tech-Days oder MINT-Tagen, oder auch nur in Form eines Besuches einer einzelnen Schulklasse. Anfragen von Lehrpersonen gab es bereits. Wäre eine Lehrperson, eine Schule oder ein universitäres Institut interessiert, könnte z.B. über «ACTION» unverbindlich Kontakt hergestellt werden. Der Zeitaufwand liegt bei etwa einem halben Tag pro Besuch.

 

Etliche Fachvereine aus dem MINT-Bereich bieten Praktika für Schülerinnen und Schüler oder für Studierende an. Es wäre wünschenswert, solche Angebote auch aus dem Bereich der Erdwissenschaften anbieten zu können, gerne würde «ACTION» die Koordination übernehmen. Sind Sie Interessiert? Dann nehmen Sie doch Kontakt auf zu mir: m_wyss_geo@bluewin.ch.

 

Autor:  Dr. Martin Wyss